[OS] Rain...

En ce jour d'été, nous nous étions rencontrées. Nous faisions partis du même groupe. Je te connaissais depuis des mois mais toi tu ne me connaissais que depuis quelques jours. Je t'avais vu un jour de pluie dans un parc, où je venais souvent le promener. Tu étais magnifique les cheveux trempés et ta robe blanche. Tu attendais sûrement quelqu'un. Je t'avais admiré un moment. 
Puis tu étais partie un air triste et déçue sur le visage. Tu répétais ce train-train quotidien quand, après un mois, tu m'avais enfin remarqué. 
J'étais heureuse à point auquel tu ne pouvais imaginer ! Nous nous parlions tout les jours, nous étions devenues très proche toutes les deux. Aussi bien que certaines personnes pensaient que nous étions en couple toi et moi. Nous en rigolions la plupart du temps. Cette monotonie se répétait jusqu'à ce que tu veuilles en savoir plus sur moi. Je t'expliquai alors:
-Je n'ai jamais connu mes parents. De ce fait je me suis toujours sentie seule, mais maintenant grâce à toi, je me sens beaucoup mieux. Mon coeur s'emballe dès que je te vois, et j'ai du mal à respirer et tout ce qui s'en suit..
Je pense que tu as compris ce que je eux dire par là. Oui Hyosung, je suis amoureuse de toi ! Je t'aime et ce pour toujours !
En entendent ces mots la concernée pleurait. Elle était en même temps attristée de l'histoire de Zinger mais en même temps elle état heureuse qu'elle lui ai enfin avoué ses sentiments.
-Zinger je.. Je t'aime aussi !
Sur ces doux mots d'amour elles s'embrasèrent, s'enlacèrent et quittèrent le parc main dans la main.
Le lendemain, HyoSung, qui dormait blotti contre Zinger, ne se réveille pas.
Zinger pensant que c'était une blague alla chercher un sceau d'eau et versa le contenu sur l'endormie.
Celle-ci ne se réveillant pas, la plus jeunes des deux cria, pleura, couru jusqu'au téléphone en appelant les secours. Ils arrivèrent, essayèrent de la réanimer sans succès. Ils annoncèrent l'heure de décès, la recouvrit d'un drap blanc et l'emmenèrent à la morgue. 

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Je me souviens de ce jour comme si c'était hier. Le jour où tu es partie. Où tu m'as laissé seule, vidée de tout sentiments. En repensant à ce jour des perles d'eau salée roulaient sur les joues rosies par le froid hivernal.
Les larmes du ciel se confondaient désormais avec les miennes.